Le nouvel Institut est l’outil technique pour répondre aux enjeux communs à l’ensemble des organisations professionnelles de la filière : compétitivité des entreprises, innovation dans les produits, durabilité des bassins de production, veille internationale et image des métiers.
Les activités de l’IFIP sont organisées en quatre pôles :
L’IFIP dispose, en cohérence avec l’interprofession INAPORC, d’un ancrage total à la filière porcine, atout face à ses défis nationaux et internationaux.
Pourquoi ?
Comment ?
La création du nouvel Institut s’est réalisée en deux temps :
Quels statuts ?
Au sein de l’ITP, le collège production disposait de la majorité absolue (20 sur 29)
Le changement de statut porte sur la composition du Conseil d’Administration qui comporte désormais une représentation équilibrée des secteurs
de la filière : production (11/31), alimentation / génétique (5/31), viandes fraîches (7/31), produits transformés (7/31). INAPORC dispose d’un siège (1/31). Le Président reste issu du collège « production ».
Quelles conséquences ?
Les activités de R&D concernant la technologie et la microbiologie des viandes fraîches, des produits élaborés et des produits transformées
sont regroupées dans un même pôle sous la responsabilité d’Anne LACOSTE.
Dans le prolongement de ces activités de R&D, les services aux entreprises
( expertises, audits, bonnes pratiques, HACCP, plans de contrôle, veille réglementaire et maintenance du code des usages, etc.)
seront maintenus.
Les activités de R&D sur les produits transformés seront conservées sur le site de Maisons-Alfort
pour :
Les activités concernant les techniques d’élevage
et l’appui aux opérateurs génétiques
sont maintenues en l’état.
Les services horizontaux (direction, formation, communication, comptabilité) sont communs d’où la réduction des charges.
Quelles ressources ?
L’ITP a aujourd’hui une situation financière saine après 3 ans de réduction drastique des charges.
Le CTSCCV n’a pas eu le temps de s’adapter financièrement à la réduction des ressources liée à la disparition de la taxe parafiscale. Ceci conduit aujourd’hui à supprimer les activités d’analyses de routine (analyses sensorielles, bactériologiques et chimiques) devenues non rentables.
Le nouvel Institut trouvera son équilibre financier 1/ en répondant aux besoins des organisations professionnelles et de l’interprofession,
2/ en étant performant sur le marché des appels d’offres européens et français
.